Education national's angels
FRANCE Ô MA FRANCE TRES BELLE,
Pour toi je ferai bataille
Je quitterai père et mère
Sans espoir de les revoir jamais
Ceci est un chant de parachutiste que j'ai appris au service militaire en ma folle jeunesse.
Aujourdhui, je vis heureux entouré des miens, douce femme et beaux enfants, dans la maison que j'ai achetée après une vie de dur labeur.
Mais je suis un peu effrayé de voir que nous vivons des temps troublés : notre beau pays, est de plus en plus pollué, il faut le reconnaître, et même sali sur les bords, par une frange d'étrangers de tous poils (surtout bruns les poils d'ailleurs ) venus illégalement voler notre travail et nos femmes.
N'ai -je donc tant vécu que pour cette infamie ?
Une brève me fait chaud au coeur mais me montre aussi, hélas, le temps qu'il faudra pour débarrasser MA France de tous les cafards qui la rongent.
Voici un extrait de ce que j'ai pu lire sur le portail Orange :
" A quelques jours du bac et du sursis du 30 juin accordé aux jeunes scolarisés sans-papiers pour qu'ils terminent leur année, et face à une mobilisation croissante, Nicolas Sarkozy a décidé de faire un geste pour une partie de ces enfants et leurs parents, qui ne devraient pas être expulsés. Cette décision ne "s'apparente pas pour autant à une régularisation massive", a indiqué mardi le ministère Mais, hasard du calendrier, l'annonce de cette régularisation partielle est tombée le jour où des policiers sont venus chercher dans une école maternelle du Mans deux petits frères kurdes, dont la maman est en cours de reconduite à la frontière. L'obstination à aider les enfants sans-papiers conduit de plus en plus de parents d'élèves à cacher des écoliers chez eux, comme à Brest où des femmes de militaires aident une petite fille du Daghestan. "Dans notre école, on a une petite fille dont la maman est menacée d'expulsion. La petite aurait dû être expulsée le 5 avril, elle a été cachée le 4 pour éviter son expulsion. Je reçois des courriers de soutien de personnes âgées qui me disent que ça leur rappelle 1942", a expliqué Delphine Grivet, parent d'élève à l'école Jean-Macé à Brest. "
Sortie d'école maternelle dans MA France éternelle
C'est le pays où j'habite