Irani irani pas

Publié le par Flying Toxin


LE   RIRE   DU  PIRE   ET  VICE  BERNARD




Label  H.W.O.L.

 

 

      Comme de nombreux habitants l'ont constaté à leurs dépens, l'été est terminé depuis plusieurs mois et les vacances, qui vont avec, aussi.

      Les marmottes, actuellement, finissent, dans les alpages, de grignoter des cochonneries extrêmement caloriques à seule fin de prendre une couche de lard qui ferait peur même à feu Feldmarschall H.Göring.



       De ces quelques semaines passées en apesanteur, nos rédacteurs ont retenu une nouvelle essentielle, qui, bien qu'actuellement occultée par la grève des transports qui fait vraiment chier ceux qui veulent garder leur liberté de travailler (plus pour gagner plus, 110 000 euros par mois environ), n'en reste pas moins consubstantielle au régime démocratique parlementaire.


        Le docteur Bernard Kouchner, car c'est de lui qu'il s'agit ici, se rappelant fort à propos le serment d'Hippocrate, a jugé utile de prédire :


" Il faut se préparer au pire ! Le pire, monsieur, c'est la guerre ! "


  Flytoxine est absolument d'accord avec l'hermite : le pire c'est la guerre.


         Pendant la guerre, on manque de tout : il n'y a plus de boisson alcoolisées avec autant d'abondance, les jolies filles sont moins accessibles, et, parfois, on se fait mal.

         
         Ici, un imprudent, justement,  s'est fait mal avec de l'essence mêlée à du benzène et du polystyrène.


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       Les médecins français, prédécesseurs du docteur Kouchner, avait déjà utilisé ce mélange en Indochine pour soigner les indigènes du communisme et, en Algérie Française, pour soigner les bicots d'un indépendantisme de trés trés fort mauvais aloi. A l'époque il s'agissait d'un mélange d'essence, de NAphtalène et d'acide PALMitique.
Les indigènes traités ont effectivement vu leurs accés de fièvre indépendantiste stoppés de façon radicale et socialiste dans les deux cas.


       Il m'est donc extrêmement plaisant de saluer ici, en la personne du bon docteur Kouchner, un homme entré en politique par la grande porte de l'ingérence humanitaire darfourienne chère à l'Arche de Zoé, un homme capable de prévoir le pire et de s'y préparer en conséquence. Cet homme, médecin, devenu haut responsable politique de mon pays, m'enjoint de me préparer à faire la guerre.

       En Iran.

       Euh ... où ça ?


       Hé ho !... Pas moi : je suis trop vieux ! Mes fils oui. Ils ont l'âge légal de tuer des gens, eux.

       Pardon, je voulais dire : de guérir définitivement des indigènes dans un grand élan humanitaire.

       

      Ici, une image du grand élan d'ingérence humanitaire de monsieur Kouchner, bien mis en valeur par un éclairage chaud, mettant en relief les ors et les lustres donnant cette impression de grandeur et de force tranquille qui sied aux guides suprêmes des nations en quête de sens et d'espace vital.

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       Et d'une pierre faisant deux coups, monsieur Kouchner est sûr de de gagner beaucoup plus en cas de guerre, puisqu'il travaillera beaucoup plus : il est docteur, il aura du travail en Iran s'il s'y ingère humanitairement en cas du pire préparé.



       Au fait, Kouchner, c'est pas un peu juif ça, comme nom ? Je croyais qu'on les avait tous brûlé
depuis belle lurette eux aussi,  ?







Publié dans Faits d'hiver

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R
Kouchner, Staus Kahn, et les autres…Il faut les tremper dans du goudron et les recouvrir de plumes.
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